2008

samedi 23 février 2008

Le blog d'un MRTI sur Canal +

On peut apeller ca une success Story...

Mais elle n'est pas le fruit du hasard ou de la coincidence. Elle vient de la consequence d'un travail de référencement et de buzz sur un thème d'actualité.



Il y a quelques jours j'écrivais un article d'actualité sur mon blog. Il s'agissait d'un appel à un futur grand happening qui aura lieu à paris le 8 mars. Il s'agit là d'une opération "Freeze" à Paris qui se déroulera dans un lieu public encore tenu secret.

Quelques heures plus tard, l'article est relayé par Scoopeo et fait le tour de la blogosphere en quelques heures.

Si bien qu'en fin de journée, mon blog reçoit près de 1300 visites et de nombreux commentaires. Grâce à cela, le groupe Facebook consacré à l'évènement devient de plus en plus populaire et compte de plus en plus de membres.

Et 5 jours plus tard, Ariel Wizman cite mon blog dans l'émission de Cana + "l'édition spéciale" du 22 Février 2008 suite à un reportage sur le thème de l'happening.

Voici la vidéo du reportage :



Comme quoi avec un nom "ridicule" d'un blog, on peut quand même faire du contenu de qualité et du buzz sur Internet. N'est ce pas Ariel ?

Au lendemain de ce passage à la TV, il est intéressant d'analyser la corrélationTV et le taux d'audience sur le blog.

PS : Moi qui avait l'habitude de parler de buzz Marketing sur mon blog, je trouve ca interessant d'en avoir créé un moi même.

jeudi 21 février 2008

Comment concilier une relation client équilibrée et un objectif de ROI ?

Depuis plusieurs années, avec l'apparition de nouveaux canaux, le téléphone d'abord, le web et plus récemment le SMS, le Marketing Direct subit une profonde mutation.
La multiplication des canaux de communication, d'abord perçue comme une opportunité de contacts plus fréquents avec le client, et la différentiation des offres inhérente à la mise en place de stratégies de Relation Client, ont généré chez le consommateur une plus grande sensibilité à la pression marketing. L'entreprise doit donc aujourd'hui relever un défi de taille : contacter ses clients plus modérément tout en étant plus efficace.
Ceci explique le succès actuel des solutions de gestion de campagnes, qui permettent de mettre en place un ensemble de règles de contact, pour contrôler la pression et tenir compte des préférences exprimées par les consommateurs.
Pour autant, si ces outils permettent une gestion sophistiquée des campagnes, le mode d'élaboration d'un plan de campagnes MD a finalement peu évolué. En effet, les campagnes sont ciblées l'une après l'autre, avec des segments ou des scores, dans le cadre du budget annuel.
Or la prise en compte d'éléments qui interagissent sur l'ensemble des campagnes augmente la difficulté de maximiser le retour sur investissement du plan.
Le ciblage de chaque campagne a un impact direct sur le résultat final et cibler les campagnes les unes après les autres ou adopter une vision globale du plan conduisent à des résultats qui peuvent être très différents pour un même budget.
L'amélioration de la Relation Client implique donc le passage d'une vision unidimensionnelle - la campagne - à une vision multidimensionnelle transversale - le plan de campagnes. Techniquement, cela revient à traiter globalement les ciblages et contraintes de l'ensemble du plan en appliquant une couche d'optimisation mathématique.
Les techniques d 'optimisation, aujourd'hui encore peu diffusées dans le domaine marketing, permettent pourtant de maximiser le CA, le nombre de retours ou la rentabilité d'un plan de campagnes. Et ce en respectant toutes les contraintes du marketer, pression marketing par client ou segment, délai entre deux sollicitations, budget annuel ou par campagne, volumes disponibles par canal etc.
L'optimisation mathématique d'un plan de campagnes garantit donc à la fois un ROI maximum et, pour chaque client, la bonne offre, par le canal qui lui convient le mieux, au bon moment.
C'est pourquoi, de même que les techniques de scoring, héritées de l'étude des phénomènes de défaillance, ont bouleversé l'approche du ciblage, gageons que les solutions d'optimisation formeront la prochaine génération d'outils marketing pour concevoir les plans de campagnes MD.

Source : relationclient.net

mercredi 20 février 2008

Loïc Le Meur lève 6 millions de dollars pour Seesmic

Loïc Le Meur lève 6 millions de dollars pour la première levée de fonds de sa plate-forme de discussion vidéo. Il s'entoure de business angels prestigieux dont les carnets d'adresses lui seront utiles.
Seesmic, la nouvelle jeune pousse de Loïc LeMeur, vient de publier la liste exacte de ses investisseurs, à l'origine de sa première levée de fonds de 6 millions de dollars.
L'essentiel des fonds (5,5 millions) provient d'Atomico, un groupe d'investissement fondé par Niklas Zennström et Janus Friis, les créateurs de Kazaa, Skype et plus récemment Joost.
En dehors des deux scandinaves, la jeune pousse compte également quelques prestigieux investisseurs comme Michael Arrington, fondateur de TechCrunch, Steve Case, cofondateur et ex-PDG d'AOL, Jeff Clavier, directeur associé de SoftTech VC, Ron Conway, l'un des premiers investisseurs de Google, Steve Garfield, précurseur des blogs vidéo, Dan Gillmor, directeur de Knight Center for digital media entrepreneurship, Reid Hoffman, fondateur de LinkedIn, Michael Parekh, directeur général de Goldman Sachs, Mark Pincus, cofondateur et ex-PDG de SupportSoft, Ariel Poler, fondateur et ancien directeur général d'IPRO et de Topica, Jeff Pulver, fondateur et président de Pulver.com ou encore Martin Varsavsky, fondateur de FON.
Loïc Le Meur a identifié deux pistes de revenu possible. D'abord la publicité vidéo contextualisée en fonction du thème de la conversation, ensuite un service payant qu'il imagine comme une sorte de blog vidéo.
Ouverture officielle prévue pour le 31 mars prochain.

Uns stratégie virtuelle porteuse de fruits bien réels

Qu’est ce qui peut relier cinq millions et demi d’asiatiques, deux millions et demi d’américains et deux millions d’Européens ?

L’amour des trolls, orcs et autres créatures fantastiques virtuels !

Au delà des frontières réelles, ce que les religions et philosophies ont mis des siècles à faire s‘est construit en quelques années grâce à World of Warcraft, un jeu appartenant à la catégorie - attention mot barbare – des MMORGP pour Massive Multi Online Role Game Players.

En moins de quatre ans, ce monde virtuel peuplé de chimères médiévales à conquis tous les continents de notre vieille et très petite planète.

L’affaire était pourtant un vrai pari. Lancé en 2004, par Blizzard, filiale de Vivendi, sur un marché fortement concurrenciel et dominé par les coréens, c’est un véritable raz de marée. Jamais jeu vidéo n’avait connu succès aussi rapide.

La politique Marketing mise en place illustre bien les mécanismes propres au v-marketing. Après avoir acheté et chargé le CD sur son ordinateur, le joueur dispose d’un mois gratuit pour affronter d’autres joueurs du monde entier. Passé ces trente premiers jours, il lui en coûtera entre 10 et 15 euros par mois pour retrouver son univers favori.

Et ça marche. De toutes évidences, essayer, c’est l’adopter.

En 2007, le chiffre d’affaire de Blizzard a augmenté de 58% pour atteindre 814 millions d’euros.

Un virage très serré pour l’ex marchand des eaux Vivendi qui s’est complètement recentré sur le divertissement et le jeu. Virage suffisamment serré pour nécessité une justification auprès de ses actionnaires comme le prouve la très belle campagne de publicité vue notamment dans la presse économique ces derniers mois, mais un virage très réussi.

Il est de bon ton aujourd’hui d’ajouter à son CV son niveau WW (World of Warcraft), preuve de son charisme et de sa capacité à manager des troupeaux de trolls à défaut d’humains.

Source : Marie Catherine Beuth, Le Figaro, 11 février 2008

mardi 19 février 2008

HD DVD contre Blu-ray

La guerre de succession du DVD serait sur le point de se terminer. Toshiba va dans les prochains jours annoncer un revirement de stratégie pour son propre format de vidéo haute définition, le HD DVD. Et le japonais pourrait annoncer ni plus ni moins le retrait de sa technologie sur le marché grand public. C'est du moins la rumeur qui circule depuis quelques jours après que le site de la chaîne de télévision japonaise NHK ait évoqué ce scénario.

Le format de Toshiba a déjà été lâché par "Walmart", le numéro un de la grande distribution dans le monde et par le loueur de DVD en ligne Netflix. Samsung a annulé la commercialisation de sa platine compatible avec les deux formats de DVD haute définition. Samsung est reste avec le format Blu-ray de Sony pour ses produits multimedia.

Si Toshiba confirme l'arrêt du HD DVD, la technologie n’aura duré au final qu’une petite année. Mais le retrait d'un acteur majeur sur le marché du DVD, Warner Bros, le 4 janvier dernier, a sérieusement compromis l'approvisionnement de films haute définition sur ce support. Sans un catalogue suffisamment riche, l'avenir du HD DVD était alors fortement compromis. Pourtant, le format avait tout pour plaire. Car contrairement au format Blu-ray, les prix des lecteurs étaient plutôt bon marché et surtout, les lecteurs de salon étaient technologiquement au point.

Avec cette action, plus besoin de se poser de question avant d'opter pour l'un ou l'autre des deux formats haute définition qui, rappelons-le sont incompatibles entre eux. La seulesolution pour s'en sortir de cette situation, serait probablement pour l'avenir, un Joint venture pour attaquer le marché du HD DVD, entre Sony et Toshiba, marché aujourd'hui sans une croissance importante.

L'union de ces deux technologies faciliterait la commercialisation et la communication du produit, sans complication et simplicité pour les consomateurs et surtout, d'avoir un seule format et un seul lecteur. En conséquonce les ventes en volume.

dimanche 17 février 2008

La perpetuelle adaptation de la CNIL

TOUJOURS PLUS DE TRAVAIL POUR LA CNIL

La CNIL se doit de surveiller les utilisations des données à caractère personnel qui sont aujourd’hui protégées dans le cadre de la loi Informatique et libertés de 1978.
Force est de constater que son rôle se complexifie de jour en jour face au monde du business.
Les entreprises progressent techniquement chaque heure et cherchent de façon perpétuelle des nouveaux produits à proposer, de nouveaux revenus à gagner.
Dernière annonce en ce sens : SFR et son partenariat avec TOMTOM. En effet, SFR va transmettre à TOMTOM les coordonnées de positions et vitesse de chaque carte SIM de portable. L’objectif est de proposer un service d’info trafic. SFR assure que le transfert des coordonnées se fait dans l’anonymat total et ne fera pas de déclaration à la CNIL.
La CNIL réagit néanmoins : « Nous devons nous assurer que l’anonymisation des informations est bien mise en œuvre. La définition des données à caractère personnelle est très large. »
Il convient de préciser, en effet, que la CNIL considère une adresse IP comme indirectement une donnée à caractère personnel. Dans le cadre de SFR , il s’agit de s’assurer que les données qui seront collectées ne comporteront pas le N°IMEI car il assure indirectement un lien avec un individu.
Le service doit être lancé début 2009 a moins que…

samedi 16 février 2008

Mathieu Kassovitz habille Dailymotion

Le temps d’un week-end, Dailymotion donne carte blanche à Mathieu Kassovitz pour mettre en avant sa sélection vidéo.

Du 15 au 17 février, Mathieu Kassovitz disposera de la page d’accueil de Dailymotion pour y proposer sa sélection de vidéos créatives. Il a repéré parmi les partenaires et les MotionMakers (programme regroupant les utilisateurs les plus créatifs du site) les vidéos les plus originales, les plus innovantes et les plus engagées parfois. Chaque thématique de la page d’accueil (news, musique, sport, etc… ) aura sa vidéo star exclusive choisie ou réalisée par Mathieu Kassovitz.


À cette occasion, il reviendra tout particulièrement sur l’action de l’association des enfants de Don Quichotte aux bords du canal St Martin, en présentant en exclusivité sur Dailymotion, le documentaire réalisé par Augustin et Jean-Baptiste Legrand. Engagé, impertinent, drôle,… Kassovitz comme vous ne l’avez jamais vu !

vendredi 15 février 2008

Widgets pour télévision

Apple aimerait exporter à la télévision les "widgets" qu'elle a popularisés dans son système d'exploitation Mac OS.

"Peux-tu éteindre ton widget s'il te plaît, je regarde le foot à la télé", se lamenteront peut-être un jour les aficionados du sport. Si l'on en croit une demande de brevet déposée en 2006 par Apple, la pomme travaille en effet sur un système de widgets à intégrer dans les systèmes multimédia. Une sorte d'extension télévisuelle des mini-applications que la firme a déjà popularisées dans son système d'exploitation Mac OS.

Quésaco ? Il s'agit de widgets qui pourraient s'intégrer à une interface multimédia, comme celle de l'Apple TV ou à une barre de widgets dédiée, qui pourrait quant à elle être pilotée à distance par une télécommande. Les contenus desdits widgets seraient diffusés via Internet ou par la chaîne elle-même.

Intérêt ? Tout d'abord, permettre aux téléspectateurs d'utiliser certaines applications populaires, comme la messagerie instantanée, en même temps qu'ils regardent leurs programmes audiovisuels. Et peut être également offrir des widgets en rapport avec les contenus diffusés.

On peut imaginer, par exemple, qu'une mini-application iTunes pourrait être associée aux clips vidéos diffusés par la chaîne M6 pour faciliter l'achat des titres en écoute. Sur le même modèle, un widget "Téléachat" pourrait voir le jour, pour être intégré au programme éponyme et faciliter les achats. "Arrête le widget, je n'ai pas d'argent", ne manqueront pas alors de geindre les téléspectateurs les plus pingres...

Source : www.vnunet.fr

jeudi 14 février 2008

Les opérateurs prônent une publicité mobile plus vertueuse que sur internet

BARCELONE (AFP) — Conscients de détenir avec le portable un précieux support pour la publicité, les opérateurs mobiles veulent apparaître comme de bons élèves face à la publicité sur internet, espérant être plus efficaces et responsables.

Selon le cabinet eMarketer, la publicité sur téléphones mobiles représentera 16 milliards de dollars en 2011, dix fois plus qu'aujourd'hui.

Parce qu'ils pourront atteindre le consommateur où qu'il soit, en lui parlant de façon personnalisée, les opérateurs mobiles sont persuadés de posséder potentiellement un butin encore plus important que celui de la publicité sur internet.

"Nous avons beaucoup d'informations sur nos clients: nous savons qui ils sont, quel âge ils ont, si ce sont des hommes ou des femmes, où ils vivent, à qui ils parlent... nous avons une quantité incroyable d'informations", s'est réjoui mardi le PDG du britannique Vodafone, Arun Sarin, au congrès mondial de la téléphonie mobile de Barcelone.

Sur internet, les publicitaires "n'ont pas toutes ces informations, et sont constamment en train d'essayer de deviner qui ils sont en leur envoyant de la publicité, appropriée parfois, inappropriée la plupart du temps", a-t-il relevé.

Les opérateurs mobiles veulent se différencier de la "jungle" de l'internet, peuplée de spams, fenêtres surgissantes et publicités non-sollicitées, mais ils doivent manier avec précaution les informations qu'ils ont sur leurs clients.

"La vie privée des consommateurs est un point-clé", rappelle Laura Marriott, présidente de la Mobile marketing association (MMA), qui rassemble plus de 600 entreprises (opérateurs, équipementiers, agences publicitaires).

La MMA a défini un code de conduite et des formats à respecter pour communiquer sur mobile.
"Il faut que la publicité ne domine pas tout l'écran, qu'elle ne soit ni intrusive ni agressive, et nous encourageons nos membres à travailler en mode +pull+ (où c'est le client qui doit agir pour visionner la publicité, ndlr) plutôt qu'en mode +push+ (où la publicité est imposée au client, ndlr)", explique Mme Marriott.

L'idée, pour la téléphonie mobile, est de ne pas gâcher un marché, certes balbutiant, mais dont les premiers résultats montrent une réelle efficacité: "sur une publicité mobile, le taux de click du client (pour aller voir cette publicité, ndlr) est d'environ 2-3%, contre 0,1-0,2% sur internet", souligne Richard Saggers, directeur de la publicité mobile à Vodafone.

"Nous avons envoyé par mobile une publicité sur les déodorants Lynx, en ciblant les hommes jeunes, et nous avons obtenu un score de reconnaissance spontanée de 13%, et 86% d'entre eux disent avoir saisi le message", bien plus que pour une campagne traditionnelle, raconte Ujjal Kohli, PDG de Rhythm Newmedia, société spécialisée dans la publicité mobile.

Les opérateurs veulent démontrer et mesurer clairement cette efficacité: c'est le sens du groupe de travail, annoncé lundi à Barcelone, entre les cinq principaux opérateurs mobiles opérant en Grande-Bretagne (Vodafone, Telefonica, T-Mobile, Orange et Hutchison-3), pour apprendre à mieux mesurer cette efficacité.
Le Royaume-Uni servira de marché-test afin de définir un standard international.

Là encore, la téléphonie mobile veut se démarquer d'internet: "quinze ans après les débuts de la publicité sur internet, il n'existe toujours pas de données valides, indépendantes et agrégées à ce sujet!", a noté M. Saggers.

"Par rapport à internet, le téléphone mobile est un support publicitaire encore jeune, donc cette initiative pourrait permettre de le différencier comme un média consistant, mesurable", renchérit Henry Stevens, responsable de ce programme à l'association GSM, qui coordonne l'opération.
Source : AFP dans le cadre du Congrès de la téléphonie mobile de Barcelone

mardi 12 février 2008

Publicité en ligne : Google rame avec les réseaux sociaux

Son partenariat avec Myspace, pour intégrer les liens sponsorisés sur le réseau social, n'a pas permis à Google de générer les revenus prévus, comme l'attestent les résultats financiers que la société internet vient de publier pour son année 2007.

Le bilan est satisfaisant, mais inférieur aux prévisions des analystes, en partie à cause d'une augmentation des coûts d'acquisition de trafic qui coûte cher à l'entreprise.Ses dirigeants reconnaissant que son insertion sur les réseaux sociaux n'a pas rapporté autant qu'escompté. Sans rentrer dans les détails, ils évoquent « quelques partenaires du programme de liens sponsorisés Adsense, dont les paiements sont garantis », selon le directeur financier George Reyes. De fait, Google doit payer le réseau social même quand les internautes ne cliquent pas sur les publicités. Leur accord stipule de lui verser une somme minimale forfaitaire.

« Je ne crois pas que nous ayons encore trouvé la façon imparable de faire de la publicité sur les réseaux sociaux et d'en tirer des revenus. » a indiqué Sergey Brin, son cofondateur.

Google fait douter les analystes

Le prix de l'action a aussitôt chuté pour terminer à 564 dollars en fin de journée ; début novembre, elle avait culminé à 747 dollars. Reste que Google a tout de même engrangé sur l'année 2007 un bénéfice net de 4,2 milliards de dollars - contre 3 milliards en 2006 -, pour un chiffre d'affaires global de 16,5 milliards de dollars, contre 10,6 milliards l'année d'avant. Mais cette performance ne suffit pas aux analystes, qui pointent les failles.

« Quand le plus grand acteur de l'industrie de la publicité en ligne, qui a entre les mains l'outil de monétisation le plus avancé, parle de ses difficultés à gagner de l'argent avec certains types de pages, cela peut être le reflet d'un problème rencontré par l'industrie toute entière », commente Derek Brown, analyste pour le cabinet d'analyse Cantor Fitzgerald.

En signant avec MySpace, alors numéro un des réseaux avec 100 millions de membres, Google avait coiffé au poteau Yahoo et Microsoft, et espérait remporter le jackpot. La firme de Redmond avait riposté en décrochant un contrat avec Facebook. Son entrée au capital du réseau social avait ensuite élargi leur partenariat, pour inclure l'international et tous les types de publicité.

Les dirigeants de Microsoft affirment que le taux de monétisation est bon et en constante augmentation.

Yahoo, quant à lui, est un peu à la traîne sur ce créneau. Et la rivalité avec Google va aller crescendo, si l’OPA de Microsoft aboutit.

Question de méthodes ?

Comment expliquer ces différences d'analyse ? « Google a surtout tenté d'appliquer tel quel son système AdSense à MySpace, tandis que Microsoft a testé différentes techniques de publicité, y compris celles apparaissant dans des blocs contextuels ou sous forme de bannières, par exemple », affirme John Tinter de Microsoft, qui a négocié l'accord avec Facebook.

« Nous nous sommes améliorés au niveau du ciblage des publicités et de la manière de la proposer. Nous avons plus adapté notre approche qu'eux », insiste-il.

Mais les réseaux sociaux sont-ils vraiment la poule aux oeufs d'or tant attendue ? Mark May, du cabinet d'études Needham & Co, se montre réservé. « Aujourd'hui, les réseaux sociaux, à l'instar des messageries, sont des outils de communication qui génèrent encore difficilement des recettes avec la publicité. Cela évoluera, mais il faudra beaucoup de temps. »

Par Elinor Mills, CNET News.com, et Béatrice Gay, ZDNet.fr,

lundi 11 février 2008

Le marketing des communautés


L'Internet est devenu un laboratoire d'usages.

La simplification des technologies permet l'éclosion de nouveaux modes de consommation, dans lesquels les consommateurs font enfin ce qu'ils veulent réellement.

> Les communautés, un concept naturel

Pourquoi les gens participent-ils à des sites communautaires ?
Parce qu'ils le peuvent.

Il est naturel de participer à des sites communautaires.
Il est naturel de parler, de donner son avis, de rechercher des conseils, de plaisanter. Il est naturel de se sentir valorisé par le regard des autres, de rechercher une sorte de reconnaissance.

Tout le monde l'a toujours fait dans son environnement (réel), alors, puisque l'Internet permet de faire la même chose à beaucoup plus grande échelle, tout le monde le fait aussi sur Internet.

Le point-clé, ici, c'est que le web communautaire n'est pas une mode. Certaines initiatives n'auront pas d'avenir, certes. Mais on continuera à voir fleurir les forums, les wikis, les commentaires, les notes, etc.

Auteur : Laurent Nicolas - cercle des experts marketing

samedi 9 février 2008

L'emarketing direct, une stratégie incontournable de 2008

Il rassemble toutes les techniques pour toucher le client directement via l’envoi de messages (emailing, newsletter…). Mais attention, les années 2006 et 2007 ont vu le taux d’ouverture et de clics chuter… La faute aux spammeurs, à la sur-sollicitation (voir le mauvais exemple de www.rueducommerce.fr qui harcèle ses clients avec parfois plusieurs messages par jour !…)… Mal utilisé l’emarketing, c’est se tirer une balle dans le pied…

- L’emailing et la newsletter: ce sont les outils de base de l’emarketing… liés à l’utilisation d’un micro site, d’une video virale… le résultat est encore plus puissant. Il faut savoir que le taux de transformation est généralement situé entre 0,5 et 5 %.
- Les pop up et op under (afficher une autre fenêtre lors de l’arrivée ou le départ d’un site internet) sont de moins en moins utilisé grâce aux navigateurs qui les bloquent quasi systématiquement… Il faut donc les utiliser avec précaution (sauf éventuellement pour l’affiliation).
- Les flux RSS : c’est l’inverse de la newsletter. C’est l’internaute qui s’y abonne tout seul et qui choisi quand il veut de se désabonner. C’est un média qui est encore peu adopté et plutôt réservé aux technophiles, mais c’est un des outils qui va prendre de l’ampleur dans les mois à venir… Attention par contre au fort taux de désabonnement des flux RSS en cas d’information inintéressantes, de titres pas assez accrocheurs… sans avoir l’adresse des internautes (il faut donc lier le flux RSS avec l’obtention de l’adresse email).

Source : conseilsmarketing.fr, traduit de l'article de Jeremiah Owyang de www.web-strategist.comLa liste complète des différentes formes de WebMarketing pour 2008“.

vendredi 8 février 2008

Le pouvoir de Google


Convergence "monde internet" et "monde bancaire"

Les selon les chiffres de la FEVAD datant de la publication du 24 janvier 2008, les ventes en ligne ont progressé de 35% en 2007 avec 20 millions de cyber-acheteurs.
Avec le succès du e-commerce, 16 milliards d’euros soit plus 1% du PIB et près de 180 millions de transactions sur internet, les principales sociétés prestataires de paiement développent de nouvelles solutions.

Pour rassurer les acheteurs réticents à donner leur numéro de carte bancaire pour effectuer des paiements en ligne, ces entreprises ont mis en place des produits :
· Carte Bleue qui a mis en place un service de « e-carte bleue » est à l’origine de 3, 25 millions de transactions.
· Paypal, filiale d’ebay, a géré près de 32 milliards d’euros ce qui représente 8% des transactions en ligne dans le monde avec 200 000 marchands et 140 millions d’internautes affiliés.

Des leaders du net ont flairé la tendance et se lance dans ce business. Google vient out juste de lancer sa solution de paiement en ligne « Checkout ».

Chiffres clés pour le marché français :
· 1 français sur 3 achète sur le web contre 4 sur 10 il ya un an sur la même période.
· 91 euros est le montant moyen d’une transaction, un acheteur en ligne dépense 800 euros par an.
· 13000 nouveaux sites marchands en 2007.

jeudi 7 février 2008

WhatsOpen???

"www.whatsopen.com" est une application avec une plate-forme sociale pour Android (première application fonctionnant sous le système d'exploitation créé par Google) et iPhone qui est en Béta Test en Chine, États Unis, Europe avec deux mots d'ordre : What would you like to find? Search Where? basé sur la recherche de carte via Google voici un service simple d'utilisation qui peux s'enrichir avec la dimension social ! permettre la mise en relation avec le click to call, déclencher une navigation sur son device GPS...le service s'est développé sur une base de données à plus de 50 millions d'inscriptions.

Super si à 3heures du mat, vous rêvez d'une pizza ou autre, whatsopen vous indique les restaurants ouverts!




Site officiel : http://whatsopen.com

Source: www.servicesmobiles.fr

mercredi 6 février 2008

Google Page Rank

"Google affecte une note de popularité à chaque page Web. Cette note est faite en fonction des liens externes (popularité de liens) pointant vers elle et des liens qu'elle fait vers elle-même (liens internes).

Dans ce calcul est intégré un des algorithmes PageRank pour donner une note stable à chaque page. Le PageRank réel d'une page n'est connu que de Google, mais les internautes peuvent obtenir une approximation du classement de la page en consultant la zone PageRank de la Google Toolbar, qui indique sa valeur sur une échelle de 0 à 10 (Échelle logarithmique)".


Une ascenssion difficile

Pour comprendre la réelle strategie d'un Page Rank, il suffit de regarder ce schéma qui montre la difficulté d'atteindre un Page Rank élevé. Et meme avec un Page Rank de 7, le chemin est encore long avant d'atteindre le sommet.


Calcul du Page Rank
La formule de calcul du PageRank est publiée par Google et a subit quelques évolutions au fur et à mesure des rééquilibrages du plus célèbre moteur de recherche du monde.

Voici la dernière mouture de cette formule :

PR(A) = (1-d) + d (PR(T1)/C(T1) + ... + PR(Tn)/C(Tn))

Quelques explications sur les abbréviations utilisées :

  • PR(A) : le PageRank de la page A (le site dont on calcule le PageRank),
  • PR(Tn) : le PageRank de la page Tn (la page recevant les liens depuis des sites externes),
  • C(Tn) : le nombre de liens émis sur la page Tn,
  • d : tous les “votes” sont additionnés, mais pour en limiter l'importance, le total est multiplié par ce coefficient d'amortissement (0.85),
  • 1 - d : Un petit peu de “magie mathématique” qui permet de garantir que la moyenne des PageRank de l'ensemble des pages du Web sera de 1.

mardi 5 février 2008

Vous avez dit convergence?

La synergie fut pendant les premières années 2000 très à la mode. Il semble aujourd’hui que la convergence soit le maître mot de TOUTES les perspectives. Celles des contenus culturels d’abord. Ils passent et circulent d’un média à l’autre avec le même bonheur sans que cela semble (trop ?) altérer l’intérêt qu’on leur porte.

L’expérience du téléchargement gratuit (ou payant seulement si l’internaute le décidait) du dernier album de Radiohead a été un succès et pourtant deux mois plus tard, l’album « physique » est numéro un des ventes de disques compacts. Preuve s’il en est selon Patrick Zelnik, PDG de Naïve, qui s’exprimait dans Le Monde il y a quelques jours « qu’Internet n’a pas encore tué le disque » mais que bien au contraire le web a servi de catalyseur.

Convergence des médias aussi, dont les audiences se brouillent et se superposent. A regarder la TV ou écouter la radio sur Internet ou consulter Internet sur votre mobile et votre console de jeux, on ne sait plus qui voit quoi et où. A l’heure où Canal + affronte Orange pour obtenir le gros des droits du foot, on se dit qu’elle est bien là.

Et puis il y a la convergence des supports : du mobile/appareil photo/porte-monnaie à la console/ordinateur/ Télévision en passant pas la TV/disque dur, la convergence du Marketing qui court derrière aussi vite qu’il le peut pour s’adapter, et enfin celle des entreprises in fine, qui marient leurs différences et leur complémentarité avec autant de suspense et d’annonces qu’un Président français et sa fiancé. Microsoft et Yahoo, c’est un peu la quête de l’éternelle jeunesse pour le premier et la fin d’un joyeux célibat pour le second. Vive les futurs mariés donc et longue vie à leur amour.

Mais à parler de longue vie, il faudra pourtant très vite s’interroger sur les moyens de la garantir, aux données numériques si chèrement payées, cette longévité. Il n’existe pas à ce jour de support capable de les conserver intactes à plus de dix ans explique Franck Laloë, Directeur de recherche émérite au CNRS*. L’humanité est en train de perdre la mémoire. Focalisés sur le fait de toujours produire plus d’informations, nous en avons oublié de développer les moyens de les conserver. Il va falloir aller très vite vers la convergence du « plus puissant et plus vite » avec le « plus longtemps ».

* Le Monde 27/01/2008 dans « Attention, l’humanité perd la mémoire »

lundi 4 février 2008

Le Mobile, un meta media


Usages et services de demain sur le mobile au Japon et en corée, réalisé par l'Atelier Asie.

La toile américaine en effervescence

Chacun sa pub !D'après « l'Internet Inside Weekly » de Doug Anmuth, analyste chez Lehman Brothers, les annonceurs actifs aux Etats-Unis pourraient dépenser plus de 110 millions de dollars en publicités web politiques en 2008, soit 3,6% des 3 milliards de dollars de dépenses publicitaires politiques estimées pour l'année, tous médias confondus. Sur ces 110 millions de dollars, 42,5 millions de dollars concerneraient directement la campagne présidentielle 2008, une campagne dont le coût total pourrait dépasser les 5 milliards de dollars.Des networks aux réseaux sociaux
The Pew Research CenterLes grands réseaux audiovisuels américains, ABC et CNN en tête, ont choisi de s'associer aux principaux réseaux sociaux et plates-formes communautaires pour élargir leur audience sur Internet et, surtout, ne pas se laisser voler la vedette par les contenus générés par les utilisateurs, les blogueurs.A la suite de CNN et YouTube, de MTV et MySpace, ABC News s'est associée à Facebook, réseau social en croissance, pour couvrir la présidentielle 2008. Via la rubrique US Politics, les 63 millions de membres du réseau social ont la possibilité d'accéder à un espace de discussions « de campagne » et aux reportages politiques réalisés par ABC News. Ils peuvent également accéder aux profils et aux contenus de reporters de la chaîne détenue par Walt Disney Co.« Nous voulons élargir le débat, passer d'une session d'une heure à laquelle on peut assister à la télévision, à un dialogue qui puisse avoir lieu avant, pendant et après l'évènement », déclarait Dan Rose, VP de Facebook, sur ABC News en novembre 2007.
source : neteco.com

dimanche 3 février 2008

Yahoo!-Microsoft. La première réaction.

Les spéculations arrivent, une des premières réaction furent: "Quel seras le futur pour Time Warner's AOL unit, et Google?" Aucun media, et aucun géant du divertissement du secteur a fait une contre offre. Et même j'ai lu, comme suggestion pour Google d'acquerir AOL, et ne pas se laisser faire.
Le géant des logiciels micro-informatiques Microsoft compte séduire le numéro deux du secteur Internet, en proposant à ses actionnaires un prix d'achat de 62 % supérieur à celui de la clôture de Yahoo!, jeudi soir.
Cette audace reflète la volonté de Microsoft de s'imposer enfin dans le secteur en croissance exponentielle des services Internet où les recettes publicitaires pourraient doubler d'ici à 2010 pour atteindre 80 milliards de dollars.
Cette intension d' adquisition date depuis 2007. Avec ce mouvement l'action de yahoo! serait revalorisée en 34 dollars, la plus haut depuis un an.

Ce qui est sûr avec ça, c'est que les marchés internationaux des technologies se sont bougés, simplement l'action Google a eu une variation de-8,58%, sa cotation au 1 fevrier 2008 a été de $515,90.

Quelques chiffres:
  • L'offre est de 44,6 milliards de dollars
  • Capitalisation Microsoft: 305 milliars de dollars
  • Capitalisation Google: 189 milliards de dolars
  • Capitalisation Yahoo!: 25 milliars de dollars


















Source: Adweek, Le figaro, COFISEM.

samedi 2 février 2008

Google Health : médecin en ligne

Google n'en finit pas de nous surprendre et de vouloir contrôler encore un domaine. Preuve en est avec ce nouveau service en ligne gratuit qui pointe le bout de son nez outre-Atlantique et qui se propose de prendre soin de votre santé. Son nom : Google Health. Pour les non-anglophones, entendez Google Santé.

Ne cherchez pas plus que ça dans la page des nombreux services proposés en français par Google, vous ne trouverez rien ! Ce service qui fait ses armes aux États-Unis en version bêta vous proposera pléthore de services, à savoir la possibilité de vous créer un profil personnel médical, des conseils et autres informations adaptés à des symptômes décrits, le téléchargement de vos rapports médicaux, un système de partage de vos informations avec votre famille et/ou vos amis, et un listing de médecins qualifiés à consulter en fonction de votre problème de santé.

Vous l'aurez compris, Google Health se propose de devenir votre médecin en ligne. Seulement, ce service gratuit étant encore assez confidentiel, le corps médical français ne s'est pas encore exprimé sur ce projet. On peut supposer toutefois que 2 principales critiques feront leur apparition, comme l'incitation à l'auto-médication et ses dangers inhérents, et les informations médicales précieuses sur chaque individu dont disposera Google. Il est clair que Google sait déjà beaucoup sur les cyber-habitudes de chacun. Il serait presque déplacé que la firme américaine connaisse en plus nos problèmes de santé. Après, libre à chacun d'utiliser ce service...

Source : memoclic.com

vendredi 1 février 2008

Un jean interactif et communautaire

L’idée est plutôt novatrice et bien en adéquation avec l’esprit communautaire qui existe déjà dans l’univers du jean de marque.
La marque DENIM CODE, va au bout de cette réflexion grâce à une technologie émergente en Europe : le mobile tag. Elle propose une collection de jeans, tee-shirt et shorts tagués. Le tag est imprimé ou brodé de perle sur le vêtement. Une fois shooté, il donne accès à l’univers de la marque et renvoie, par exemple, un clip vidéo sur le téléphone portable. Le contenu est mis à jour régulièrement et propose news, vidéo, musique. La fabrication de contenu riche n’étant pas son cœur de métier, la société a conclu un partenariat avec NRJ et s’appuie sur des opérations à caractère événementiel (DJ dans sa boutique, création d’un tee-shirt collector vendu lors de la tournée d’un groupe). Cette jeune société née en décembre 2006, fourmille d’idées et projette à moyen terme, de décliner son jean version 2.0 : un jean blog ! Du buzz, du buzz et encore du buzz à venir.

Mais qu’est-ce que c’est exactement qu’un tag, me direz-vous.
Il s’apparente à un code barre intelligent, lisible par un téléphone portable. Il est de forme carré et ressemble à l’image de pixels. Il est également doté d’un chiffre. Plutôt que de taper l’adresse du site où l’on souhaite se rendre, le tag redirige automatiquement sur la page à laquelle il est associé. Un sacré gain de temps pour une navigation plus ergonomique. En France, c’est Mobile Tag qui a imposé sa norme.

Comment décoder un tag avec le téléphone portable ?
Première solution, l’appareil photo du téléphone va scanner le tag qui sera décodé via une application téléchargeable sur le site de Mobile Tag. 500 modèles de téléphones portables sont aujourd’hui compatibles. En 2008, 40 modèles possèderont cette application en natif. Deuxième solution, si le téléphone ne possède pas d’appareil photo, il suffit juste de saisir le numéro du tag pour que l’application redirige vers l’url associée.

L’avantage majeur réside dans l’impression du tag sur tous types de supports donc de médias. Il apportera aux consommateurs une information additionnelle ou un bénéfice supplémentaire. Les usages sont infinis. Outre la dimension ludique, le tag confère une image résolument novatrice et moderne à la marque qui l’utilise. La cerise sur le gâteau, c’est un mode de communication sans intrusion, libre à chacun de choisir de shooter ou pas.