2008

mercredi 24 juin 2009

Livre "Marketing politique et nouvelles technologies"

J'ai le plaisir de vous annoncer la sortie de notre nouveau livre "Marketing politique et nouvelles technologies", dont j'ai assuré la direction d'ouvrage et dont je suis co-auteur, avec mes 11 étudiants du MBA "Marketing relationnel et technologies de l'information", de l'ISC Paris. Paru aux éditions Distriforce/Cybersavoirs, cet ouvrage est exclusivement vendu en ligne sur le site: http://www.marketing-politique.fr, soit en format papier (19 €), soit en format numérique (9 €). Voici le synopsis:

La démocratisation des usages de l’Internet et du téléphone mobile, devenus médias de masse, ne pouvait laisser la sphère politique insensible. Lors des dernières élections, en France et aux Etats-Unis notamment, les candidats ont fortement investi ces nouveaux territoires de communication pour transmettre leurs idées et séduire les électeurs. Simultanément, les autres acteurs de la vie publique (administrations, syndicats, associations…) ont également rapidement intégré ces innovations.

Les étudiants du MBA spécialisé « Marketing relationnel et technologies de l'information » de l'Institut Supérieur du Commerce de Paris, et leur responsable pédagogique, François Cazals, explorent ici les apports des nouvelles technologies en marketing politique et les meilleures pratiques pour la conquête du pouvoir, le dialogue démocratique ou la résistance citoyenne.

François Cazals, responsable pédagogique du MBA

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Un livre aux intentions obscures, qui passe d'un verdict sans concession :

"Le marketing politique est une démarche de manipulation".

A un "optimisme béat" (sic, p.40) d'ailleurs parfois à la limite de la contrevérité :

"l'avènement du marketing politique, c'est aussi une révolution, celle de la victoire de l'intelligence sur les préjugés avec l'élection du premier président noir américain."

Contrevérité car le marketing politique n'a pas fait élire un candidat noir américain mais Barack Obama.
Le livre souligne d'ailleurs bien (p.46): "avec cette pratique, l'électeur devient un consommateur à qui vendre un candidat politique."
Comme prétendre alors que le marketing politique puisse élever les débats?